EXCLUSIF !!!

LA BIOGRAPHIE DE THOMAS

IL N'Y A PAS SI LONGTEMPS, DANS UNE GALAXIE TOUTE PROCHE...

Thomas est né le samedi 31 mars 1984, aux environs de 19 h 30... Il apprend rapidement à s'exprimer, et s'habitue parfaitement et facilement à la vie douce, tranquille et bien douillette que lui offrent ses parents en s'occupant presque continuellement de lui.

Mais bientôt, un événement étrange et inconnu se prépare. S'il ne comprend d'abord pas grand chose au chamboulement de sa vie, il se rend compte que ce n'est pas pour rien que l'on a déménagé de l'ancien appartement et emménagé dans une maison plus grande. Et ainsi, par une fin d'après midi, alors qu'il n'a que quatre ans et demi, son père vient le chercher à l'école et lui annonce le plus simplement du monde que sa petite sŠur est née. Thomas n'en revient pas...

" C'était donc ça !!!" nous confiera-t-il lors d'un entretien avec lui. « J'étais totalement renversé, mais je n'en laissais rien paraître... Ah bon ! ai-je répondu d'un air totalement indifférent..."

Un grand changement s'opère alors, quelque chose qu'il n'aurait jusque là jamais pu soupçonner... Ses parents le délaissent et l'abandonnent presque, du moins se l'imagine-t-il dans un premier temps, pour un petit bébé pleurnichard qui s'habille en rose. Comment est ce possible, « elle ne connaissait pas un mot de français, et cependant ils passaient leur temps à lui parler et à attendre en vain une réponse ».

 

UN PETIT PAS POUR LUI, UN GRAND PAS POUR L'ÉCOLE

Mais comme tout passe, Thomas s'habitue à ce nouveau mode de vie et deux ans plus tard il entre au Collège Saint-Étienne en classe de CP, ou plus exactement dans la 11è verte. Il fait alors la connaissance de certains bons amis, qui restent encore actuellement les meil1eurs qu'il connaisse. « Il faut dire qu'ils avaient au départ les mêmes problèmes que moi ; ils avaient aussi des petites soeurs..." nous confie-t-il

L'année suivante, deux grandes nouveautés : d'un côté, il commence à apprendre l'allemand, ce qui est un petit peu difficile au démarrage, mais en s'appliquant il y arrive finalement. D'un autre côté, il débute l'apprentissage du judo, sport qu'il poursuit encore aujourd'hui, après huit années de cours et de compétitions, au grade de ceinture marron, et après avoir gagné, précisons-le, plusieurs médailles. ( Il faut d'ailleurs ici citer les noms de Jean HULARD et Claude STEYER qui le formèrent.)

IL ÉTAIT UNE "FOI"

C'est à l'âge de sept ans qu'il découvre sa voie mais aussi sa foi. Son père lui fait découvrir la trilogie mythique de la Guerre des Etoiles. "Ce fut pour moi une révélation." A partir de ce moment, et même s'il forge de jour en jour sa culture cinématographique, STAR WARS restera à tout jamais gravé en lettres d'or dans son coeur et dans son esprit.

LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE

Sa scolarité passe et s'écoule jusqu'en Sixième. Rien d'extraordinaire ne se produit, si ce n'est l'apparition d'une passion pour la philatélie. Sixième 1995. Année charnière au niveau de l'enseignement scolaire. On peut noter le début de son apprentissage de l'anglais, qui le mène aujourd'hui en classe de Seconde Européenne Canada.

OBJECTIF ORDINATEUR

Mais encore, autre fait marquant de son existence, une machine, une nouvelle technologie, une incroyable source de bonheurs apparaît dans sa maison...Son père vient d'acheter un PC 486, avec écran 14'', et c'est parti... Dès lors, il ne peut s'en défaire : exposés, jeux, informations, tout est fait par son intermédiaire. Il délaisse voitures miniatures et jeux de construction pour s'élancer entièrement dans l'ère de l'informatique et des jeux vidéo. C'est une véritable course à l'armement qui s'engage... Il faut suivre les évolutions, bien se documenter avant d'acheter un nouveau modèle. Et ainsi, on passe du 486 au P166, puis au Céléron 333 et enfin, apothéose, atteinte en 1998, son père achète un PII 450, avec écran 19'', et carte accélératrice 3D TNT.

...ET ELLE COULE TRANQUILLEMENT

Mais revenons à la vie scolaire. Il débute le latin en 5è et la physique en 4è. Ces deux matières le passionnent tant qu'il n'hésitera pas à les prendre en 2nde comme options.

QUE LA FORCE SOIT AVEC LUI...

Fan incontesté de Star Wars, comme nous l'avons précisé auparavant, il attend impatiemment un acte de George Lucas, un geste de sa part, bref, du nouveau sur les écrans. En attendant d'avoir quelque chose à se mettre sous la dent, il collectionne les objets Star Wars, et notamment tous les jeux vidéo inspirés du film. Il attend, il attend... Et son vŠu se réalise...Enfin... Il ne nous dira tout d'abord qu'un seul mot à ce sujet :« MIRACLE ».

Il est vrai que la sortie d'une version améliorée de la première trilogie l'avait enchanté, mais quelle ne fut pas sa joie d'entendre parler d'une rumeur : George Lucas allait tourner l'épisode premier de Star Wars. Mais si ce n'est d'abord qu'une rumeur, elle se concrétise et le 13 octobre 1999, le jour de la sortie officielle du nouveau chef-d'oeuvre, il va avec son père découvrir sur grand écran, pour son plus grand bonheur, "La Menace Fantôme". C'est une journée qui restera dans les annales, car il est difficile de reproduire ici sa joie. "C'est fantastique, merveilleux, superbe, génial, inoubliable..." Il n'en peut plus, la Force est avec lui...

CE N'EST QU'UN COMMENCEMENT...

Mais tout ne s'arrête pas là, heureusement. Il a encore beaucoup d'années d'études devant lui et encore deux épisodes de Star Wars,... Tout ne fait donc que commencer...

Yoda GATES

L'INFO VOUS OFFRE EN EXCLUSIVITÉ L'INTERVIEW DE Thomas, RÉALISÉE PAR NOTRE REPORTER Yoda GATES

Yoda Gates : « Nous allons ici évoquer votre entrée dans l'univers de l'informatique...Comme nous l'avons précisé dans l'article, vous avez commencé à vous intéresser aux ordinateurs en sixième, soit à l'âge de 11 ans. Comment cela s'est-il passé exactement ? »

Thomas PABST : « Pour mes DST d'allemand, il fallait que je révise nombre de mots et d'expressions de vocabulaire. Pour ce faire, je retranscrivais tout ce que je devais savoir, pour écrire ensuite à côté la traduction en allemand, sans notes. Alors, au lieu de réécrire plusieurs fois les pages et les pages de vocabulaire, je créais sous Word des tableaux. J'écrivais les mots en français dans une colonne et je laissais l'autre vierge. Ainsi je pouvais imprimer autant de fois que je le désirais mes révisions."

Y.G. :" Vous n'en êtes cependant pas resté là ? Vous l'avez certainement utilisé de plus en plus ? "

Thomas Pabst : " Oui, en effet, dès l'année suivante, je commençais à écrire et à présenter mes exposés grâce à l'ordinateur. Ils étaient ainsi beaucoup plus lisibles, car il faut avouer que j'écris assez mal. Mais encore, il y avait une beaucoup plus grande commodité dans l'ajout des images et dans la coloration des pages..."

Y.G. :" L'ordinateur n'était pas, il faut le préciser, très prisé et très connu à l'époque... Alors comment avez-vous fait pour vous y initier ?"

TP : « Mon père travaillant aux douanes de STARsbourg... Euh, excusez-moi... Strasbourg, s'occupaient là du domaine informatique. Achetant toutes les revues informatiques et voulant s'acheter un ordinateur, il n'a pas tardé à m'initier dès que nous l'avons eu. »

YG : "Quand votre passion pour les jeux vidéo est-elle apparue ? Car il faut bien le souligner, vous êtes un grand joueur... Et vous passez vos vacances à ne faire que ça..."

TP : « Ma passion a certainement commencé vers la fin de la 5ème, début 4è. »

YG : « Pas plus tôt ? Vous en êtes sûr ?»

TP : « Eh non ! Notre ordinateur était bien assez puissant pour certains jeux, mais nous n'en connaissions pas la pratique. Nous avons donc tout d'abord attendu et un jour, par hasard, mon père a ramené des jeux à la maison..."

Y.G. : " Et ça a été le véritable déclic ?"

T.P. :" Oui, en effet, à partir de ce moment, je n'ai plus arrêté..."

Y.G. :" Et qu'est-ce que cette passion a amené chez vous ?"

T.P. :"Tout d'abord une immense joie... Mais encore un besoin constant de changer d'ordinateur pour pouvoir jouer à des jeux de plus en plus beaux graphiquement, et nécessitant donc des machines de plus en plus puissantes."

Y.G. :" Actuellement, pour vous situer, quelle machine avez-vous ?"

T.P. :"Je dois avouer que j'en suis assez fier... Je possède un PII 450 MHz, 286 M de SDRam, un disque dur de 17 go, un écran 19'', une carte TNT, avec hauts-parleurs et caisson de basse..."

Y.G. : « En effet, vous êtes équipés... Et vous avez peut-être des projets d'achats pour le compléter ? »

TP : « J'espère, il est vrai, acheter une nouvelle carte 3D, la GE Force 256, et peut être un écran encore plus grand que le mien... »

YG : « Et maintenant, une question un peu plus politique. Que pensez-vous du monopole de Microsoft et d'Intel ? »

TP : « Écoutez, en tant que très bons vendeurs, économistes et surtout gérants de leur argent, il est normal que ces deux compagnies, que je pense être les meilleures, raflent toute la mise. Ils vendent des produits excellents, un peu chers il est vrai, mais il est normal qu'ils y gagnent de l'argent. Si leurs produits étaient réellement mauvais, comme certains le prétendent, il n'y aurait pas 90% des machines équipées par leurs produits..."

Y.G. :" Merci de nous avoir consacré de votre temps...

Et que la Force soit avec vous !!!..."

DOCUMENT PHOTOGRAPHIQUE rapporté du CANADA

( Dénotation - Connotation...)

Le "Provincial Park" de Murphy's Point.

 

Texte descriptif.

On peut découvrir sur la photographie, prise dans l'un des parcs nationaux de l'Ontario, un lac aménagé par des castors, qui ont confectionné un barrage pour construire leur habitat. Et justement, on peut remarquer quelques cabanes de castors, à moitié immergées sous l'eau. Tout autour, des arbres morts grisàtres ont leur souche enfoncée dans l'eau sombre de l'étang. Ces derniers n'ont plus aucune branche, et ils sont dénudés de toutes leurs feuilles... Leurs troncs, rongés par l'humidité, sont creux et fragiles, et projettent sur l'eau un léger reflet noir. Ainsi, plusieurs d'entre eux se sont déjà couchés dans la vase. Parfois, sur l'eau, quelques volutes de mousse verte accompagnent les légers ondoiements de l'eau sous les brises glacées. Entourant le lac, des arbres que l'on pourrait qualifier d'étranges dans ce paysage, étendent leurs branches et leurs quelques feuilles survivantes. Les autres jonchent le sol et colorent de rouge, de jaune et de brun le sol d'herbes roussies. Le ciel clair, parsemé de quelques rares nuages, se reflète dans l'eau et engendre un contraste surprenant avec les eaux glauques du lac.


Texte connotatif.

Ce paysage ressemble à un décor de roman fantastique, sans la brume cependant. On pourrait donc penser, à première vue, qu'il s'agit d'un lieu de désolation, de tristesse et de peur. Mais il n'en est rien, car malgré ces apparences, il s'est créé en ce lieu un écosystème formidable, et il existe des espèces que l'on ne trouve nulle part ailleurs. C'est une réelle source de diversités écologiques qui est actuellement fortement protégée.

En outre, ce lieu mystérieux ressemble fort aux magnifiques et légendaires marais du Bayou, en Louisiane, connus pour les mêmes caractéristiques. En effet, on y trouve aussi des arbres morts, pointant vers le ciel leur cime dégarnie, et cette même diversité des espèces, ainsi que la présence d'animaux emblématiques tels que le castor. Il me revient alors à la mémoire, quand je regarde cette photographie, une foule de souvenirs agréables de mon voyage aux bords du Mississippi, que Chateaubriand lui-même décrit comme la plus belle des régions d'Amérique dans son prologue à Atala. Et ce sentiment que l'auteur a éprouvé lors de son voyage en Amérique, on le retrouve, lorsque notre regard se pose sur ces lieux...

De plus, le sol est recouvert d'un tapis de feuilles, qui, de leurs couleurs écarlates, réchauffent l'Šil du randonneur. Les dernières feuilles vivantes essaient de s'accrocher désespérément aux bras des arbres et tentent de résister aux assauts du vent glacial. Et c'est en quelque sorte un symbole du Canada, et plus précisément de l'Eté Indien, qui symbolise les derniers jours ensoleillés avant l'hiver.

 

Thomas, 2 nde 6. Canada

 

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