LIBAN

FRANCE


Romans interactifs 4è Bleue Strasbourg / 4è Turquoise Mejdlaya

Alain Sardou, incipit français

 "Alain Sardou allait se coucher quand, tout à coup, sa bonne lui apporta une lettre de son ami Richard, lettre surprenante car elle relatait des faits inquiétants. En effet, Richard avait reçu quelques jours auparavant, par la poste, un courrier au contenu mystérieux, suivi de quelques e-mails anonymes et tout aussi étranges... L'expéditeur connaissait apparemment son adresse postale et celle de sa boîte électronique...

Dans son message, Richard précisait qu'il commençait à avoir peur et qu'il ressentait le besoin de se confier à une personne qui ne le trahirait pas... Intrigué par cette nouvelle, Alain réfléchit un moment, puis il décida de répondre à Richard pour lui annoncer sa visite... Mais alors qu'il partait pour poster ce message, il croisa le facteur qui lui remit une nouvelle lettre..."

... de Camille, Audrey, Yousra et Adéla...

SUITE LIBANAISE

Alain Sardou crut d'abord que la lettre était envoyée par son ami Richard qui lui fournissait des informations supplémentaires sur les messages énigmatiques qu'il recevait. Or c'était une lettre mystérieuse et même inquiétante, rien qu'en en regardant la forme de l'enveloppe. Une partie de la lettre était brûlée, le papier tacheté de sang, l'écriture incompréhensible et des illustrations diaboliques décoraient la lettre.

"Mr Sardou, méfie-toi ! Ne crois pas que tu resteras en vie si tu tentes de te diriger vers ton ami ! Vous êtes tous deux entre des mains de fer, vous n'échapperez pas à notre colère"...

Tout cela sema l'horreur et la peur dans l'âme d'Alain Sardou qui se raidit et s'engourdit. Il déposa la lettre sur la table et écrivit à Richard:

"Cher ami,

Je suis désolé de ne pouvoir vous rejoindre; nous sommes en danger tous les deux et un malheur nous attend". Alain Sardou.

Dana, Zoubayda, Maya,

 

Suite française

(...) P.S. : " je ne puis en dire plus, j'en suis navré !"...

Puis il prit la lettre et la glissa dans son enveloppe... mais il ne pouvait se résoudre à faire faux bond à son ami. Il se dit alors que c'était son devoir d'aller lui rendre visite, ce qui, à ce jour, lui paraissait impossible. Ce qui était sûr, c'est qu'il y réfléchirait le lendemain matin, car il était fatigué... Il alla se coucher.

Le lendemain, la lettre était encore sur son bureau, au même endroit que la veille. Il la tenait entre ses mains, tout en réfléchissant aux différentes possibilités qu'il avait de communiquer avec son ami sans risquer le moindre danger. Il se rendit compte qu'il tremblait, il ne pouvait se concentrer mais ce n'était pas grave car il avait trouvé la solution : il l'appellerait... Il pourrait parler avec lui sans courir le moindre risque de se faire tuer sur le trajet...

Audrey, Muslidja, Camille L. et Yousra

 

SUITE LIBANAISE

Au téléphone, les deux amis décidèrent de se retrouver à la gendarmerie et de porter plainte. Une enquête rapide s'effectua et et il s'avéra que ce n'était qu'une plaisanterie organisée par leur camarade, Farid. Ce dernier était connu pour ses farces et ses tromperies.

Evidemment, Farid devait être poursuivi et puni par la police. Mais hélas, il avait énigmatiquement disparu. Les deux amis, Alain et Richard, longtemps torturés par les menaces et la peur, ne tolérèrent pas une blague aussi douloureuse. Ils décidèrent de se venger...

 

Suite française

Le goût de la vengeance était amer... Ils ne comprenaient pas le comportement de leur ami. Bien que farceur, Farid n'était pas du genre à provoquer de telles frayeurs chez autrui.

Sans en avoir parlé à la police, ils décidèrent de se rendre chez lui. En arrivant sur place, ils virent la porte ouverte... Surpris, mais toujours aussi énervés contre Farid, ils décidèrent d'entrer pour lui parler. Mais, à cet instant précis, ils restèrent figés devant le corps de Farid, allongé sur le sol, couvert de sang, un couteau planté dans l'abdomen... Quelques instants plus tard, ils réalisèrent enfin que ce qu'ils voyaient était réel et ils se demandèrent ce qu'ils devaient faire... Bien sûr, leur première idée fut de prévenir la police. Néanmoins, la gendarmerie ignorait la présence d'Alain Sardou et de Richard dans un apprtement qui n'était pas le leur. Ils venaient de commettre une infraction et la justice pouvait sévir. Puis, ils pourraient même être suspectés du meurtre de leur ami, n'ayant aucune raison sérieuse d'être là...

Mais ils se dirent, tout simplement par respect pour leur défunt ami, qu'ils devaient prévenir la police. Arrivés au commissariat, ils firent un compte-rendu détaillé des faits observés... Ils voulurent ensuite parler aux gendarmes qui avaient enquêté sur l'affaire et qui en avaient déduit que le coupable était Farid. Mais ils ne les trouvèrent pas et personne ne sut leur dire qui était vraiment cet homme... Tout le monde leur affirma qu'on n'avait jamais entendu parler de lui et qu'on ne l'avait jamais vu au commissariat, au point qu'ils se mirent à douter de ce qu'ils avaient vu...

Adéla, Slimani, Camille L. et Audrey

SUITE LIBANAISE

Alain et Richard devaient donc se méfier d'un criminel mystérieux et énigmatique. Ils risquaient un danger de mort que même la police, ne pouvait prévoir et éviter.

Que fallait-il faire ? La police s'était montrée vraiment incapable d'éclaircir la situation et de découvrir le coupable qui, sans doute, était en relation avec le courrier et les e-mails anonymes et mystérieux, reçus par Richard.

Les deux amis décidèrent alors de charger un détective privé, capable d'élucider les affaires les plus difficiles. L'assassin qui avait tué Farid ne devait pas rester impuni. Ce pauvre Farid qui était victime d'une blague douloureuse !

En ce temps-ci, il fallait qu'Alain et Richard disparaissent pour fuir le danger et accorder au détective privé le temps nécessaire de trouver les preuves permettant de mettre l'affaire sur la bonne voie.

Il fallait donc prendre l'avion et voyager en Amérique. Au cours du voyage, les deux jeunes gens se sentirent poursuivis par un type étranger et mystérieux.

Envahis d'une grande peur, Alain et Richard décidèrent de prévenir, cette fois-ci, non la police mais le détective privé...

 

PORTRAITS


Vers les autres romans : EMPLOI, RÉEMBAUCHE, LE FILS, BRICE MARIGNAN , TROUCYBOEUF, RETROUVAILLES

A SUIVRE...