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Petit détour par le cinéma expressionniste allemand

METROPOLIS , film réalisé par Fritz Lang en 1926, est une "prophétie des temps futurs" - un film d'anticipation et de science-fiction. Dans cette cité de l'avenir, bâtie selon les plans de l'ingénieur Fredersen qui en est le maître, l'humanité est divisée en deux classes : les seigneurs qui vivent dans les délicieux jardins suspendus de Yoshiwara, et les ouvriers enfermés dans les profondeurs où ils font marcher d'immenses et redoutables machines...Plus de 70 ans après le sortie de ce film, un autre allemand, Frank Hertweck, reporter-vidéaste travaillant pour le compte de la chaîne ARTE, nous décrit la ville souterraine - et heureuse - de Montréal, bien réelle et fort éloignée de la contre-utopie développée dans l'oeuvre de science-fiction de son prédécesseur... La situation est totalement inversée : les habitants de la ville souterraine de Montréal, interviewés par Frank Hertweck , se disent heureux de vivre dans leur "paradis" sous terre et plaignent les citadins de la surface qui doivent affronter les intempéries d'un "enfer" hivernal rude et interminable...

Mais l'optimisme n'est pas pour autant absent de l'oeuvre de Fritz Lang, même s'il s'avère un peu naïf ... En effet, si la ville de Metropolis est finalement détruite par les habitants révoltés des quartiers souterrains, c'est pour accéder plus sûrement au bonheur qui passe nécessairement par une réconciliation entre les deux "villes", celle de la surface, où s'épanouissaient grassement les exploiteurs du peuple, et celle des bas-fonds où trimait et croupissait ce dernier, réduit à l'esclavage... ( cf. ci-dessous le scénario du film )...

Dans les deux cas, fiction ou réalité, c'est le bonheur qui l'emporte...

Metropolis

Fritz Lang, Allemagne, 1926, 1h57.Noir et Blanc. Muet.

Durée des deux versions : 4189 m en version d'origine, 3170 m en version actuelle (1h57)

Photographie : Karl Freund et Günther Rittau.

Scénario : Fritz lang, Thea von Harbou d'après sa nouvelle.

Décors : Otto Hunte.

Direction artistique : Otto Hunte, Erich Kettelhut, Karl Vollbrecht.

Musique : Gottfried Huppertz.

Effets spéciaux : Eugen Schuefftan, Ernst Kunstmann.

Sculptures : Walter Schultze-Mittendorf.

Costumes : Aenne Wilkomm.

Dates de sortie : 10 Janvier 1927 (premiere en Allemagne) , 13 Mars 1927 (USA), 22 Mars 1927 (Finlande).

Interprètes : Brigitte Helm (Maria et le robot), Alfred Abel (John Fredersen), Gustave Froehlich (Freder), Rudolf Klein-Rogge (Rotwang), Fritz Rasp, Theodor Loos, Fritz Alberti...


Thèmes : 1) Ordre social. Ville. Ouvrier. Solidarité. Machine. Pouvoir. Monstre. Ambition. Liberté. Progrès. Révolte. Civilisation. Génie. Robot. Merveilleux scientifique. Savant diabolique. Fantastique. Enfance.

2) Souterrain. Double. Quiproquo. Echange. Foule.

S Y N O P S I S

Metropolis, la cité de l'avenir, est gouvernée d'une main despotique par Joh Fredersen. La ville est divisée en deux secteurs : la partie haute, la ville des maîtres entourée de magnifiques jardins verdoyants, lieu de résidence d'une minorité de privilégiés et la partie basse, la grouillante et crasseuse ville des travailleurs, où survivent des ouvriers qui, rivés à des machines avilissantes, assurent le fonctionnement de la cité.

Un jour, Eric, le fils de Fredersen, découvre l'existence et la misère de ce peuple d'esclaves et tombe amoureux d'une fille du peuple, Maria... Celle-ci, qui s'occupe des enfants des travailleurs, est aimée et respectée de tous. Elle prêche la bonne parole aux travailleurs de la ville basse. Bouleversé, Eric va essayer de défendre la cause des travailleurs auprès de son père, mais sans grand succès.

Fredersen décide alors de créer, avec l'aide de Rotwang, savant génial et fou, un robot à l'image de la jeune fille : "J'ai créé une machine à l'image de l'homme, elle ne se fatigue jamais, ne commet jamais aucune faute", déclare Rotwang, qui, par ailleurs, déteste Fredersen et son oeuvre. Ce sinistre magicien compte bien, grâce à son robot satanique, parvenir à son but : repousser les tentatives de négociation de Maria avec les maîtres capitalistes. Le robot a les apparences d'une guerrière en armure. Par la suite, recouvert de chair, il devient la réplique parfaite de Maria, prêche la révolte et provoque une révolution qui brise les machines ; mais aussitôt les sous-sols sont envahis par l'eau, les enfants noyés, et la vraie Maria n'arrive qu'à grand'peine à calmer la fureur populaire. Lorsque l'androïde sera brûlé par les travailleurs, ils le verront se transformer sous les flammes en un robot métallique.
La vraie Maria reprendra ses fonctions de médiatrice... Grâce à elle et à Eric, la ville entière sera pacifiée aux pieds de la cathédrale. Fredersen sera transformé par cet événement. Les ouvriers se réconcilieront avec lui au nom de l'Amour et Eric épousera Maria. La lutte des classes cède la place à un "idéal humaniste", quelque peu mâtiné de bonheur conjugal et que Fritz Lang lui-même jugera "simpliste et conventionnel" ( voir plus bas sur cette page ) ...

C O M M E N T A I R E S

Le réalisateur, Fritz Lang, se rend aux Etats-Unis en 1924, où il est fortement impressionné par l'architecture démesurée des gratte-ciel new-yorkais. L'idée de Metropolis va germer dans son esprit, mais c'est sa femme, Thea Von Harbou, qui va en écrire le scénario.

Le film nous montre une mégalopole moderne scindée entre les puissants, habitants de la surface, et les ouvriers, surexploités et enchaînés à leurs machines jusqu'à leur mort, vivant exclusivement au sous-sol de la ville. Véritable chef-d'oeuvre du cinéma expressionniste allemand de l'avant- guerre, le film mettait en garde contre le développement irraisonné des techniques futuristes. Il fut pourtant considéré comme un film d'idéologie socialiste car il se terminait par une réconciliation entre le capital et le prolétariat. De nos jours, cette oeuvre est plutôt considérée comme une prémonition de la société nazie que l'on verra surgir dans l'Allemagne de Fritz Lang, quelques années plus tard... On connaît la barbarie qui en découlera...

Au delà de la critique du despotisme nazi, dont le film est imprégné, Metropolis interroge le spectateur sur l'avenir de nos villes et leur expansion tentaculaire, les habitations, les moyens de transport, la promiscuité de classes sociales diverses : "le melting-pot" des populations.

C'est ce sujet qui confère encore toute sa modernité à ce chef-d'oeuvre de Fritz Lang. Dans les années 80, le film Blade Runner, de Ridley Scott, reprendra, en guise de décor, cette vision de la mégalopole cosmopolite.

Ce film somptueux et baroque doit beaucoup à la tradition germanique et au climat du fantastique romantique. En outre, le thème du double, celui de l'être artificiel qui prend la place d'un être vivant, et celui du savant démoniaque sont familiers, entre autres, aux contes d'Hoffmann ou à ceux d'Achim von Arnim.

D'autres cinéastes, après Fritz Lang, exploiteront la mythologie du savant-magicien, figure faustienne, s'ingéniant à recréer artificiellement l'être humain. On retrouve là l'éternelle histoire de la vie et de la mort, de la cupidité, de la rébellion, de l'amour et de la folie.

En somme, ce n'est donc pas dans une pseudo-thèse sociale, ni dans la grandiloquence de certains passages - encore moins dans le jeu souvent appuyé des comédiens, qu'il faut chercher la valeur durable de l'oeuvre. Cette valeur est essentiellement visuelle - ce qui, après tout, est l'essentiel pour un film. Les décors sont magnifiques, surtout ceux de la ville souterraine et de la machine-Moloch, dont l'immense escalier évoque les pyramides aztèques. Pour le film, le chef-opérateur Eugen Schuefftan développa un procédé appelé "Effet Schüfftan" : l'emploi très habile de maquettes photographiées avec l'effet Schüfftan, qui permet, à l'aide d'un miroir, de surimpressionner des vues réelles à un décor miniature, multiplie les possibilités décoratives. La figuration de masse est conduite et éclairée avec un sens plastique remarquable. L'expressionnisme du style se trouve justifié par l'étrangeté du sujet et ses intentions symboliques.


GROS PLAN SUR
... George Pal, une figure emblématique du cinéma de science-fiction (S.F.), à qui l'on doit des chefs- d'oeuvre comme Le choc des mondes ( 1951) ou La guerre des mondes (1953). Né en Hongrie, il entreprit des études pour devenir architecte. Il travailla ensuite comme décorateur à l'UFA - Universum Film Aktiengessellschaft, studio qui produisit Metropolis...

GROS SOUS...

Avec neuf mois de tournage complets ( du 22 mai 1925 au 30 Octobre 1926 ), 310 jours et 60 nuits, 36 000 figurants ( dont 750 enfants, 1000 noirs, 25 chinois et 1000 crânes rasés...), Metropolis fut un des plus gros budgets du cinéma allemand d'avant-guerre. Le budget du film était de 1 300 000 DM. Le film a entièrement été tourné dans des studios à Berlin.

Robot à l'image de Maria... ( Brigitte Helm )................

...et mauvaises fréquentations...

Hitler et Goebbels assistèrent à une projection du film. A la sortie, ils proposèrent à Fritz Lang de diriger le cinéma allemand. Le jour même, Fritz Lang quitta le sol allemand alors que sa femme Thea Von Harbou, connue pour ses sentiments pro-nazis, devint une des têtes du mouvement hitlérien. L'enthousiasme de Hitler pour Metropolis a, semble-t-il, desservi ce film, victime d'une admiration compromettante qui lui a donné la réputation sulfureuse d'une oeuvre d'esprit fasciste. Cela paraît bien excessif ; il est probable qu'Hitler a surtout été sensible au gigantisme d'une mise en scène dont on retrouvera certains aspects dans les films de Leni Riefenstahl ( Les Dieux du stade )...

Fritz Lang a souvent déclaré qu'il n'aimait pas Metropolis à cause de sa fin trop simpliste et conventionnelle : il reconnaît lui-même la naïveté et la faiblesse de ce dénouement optimiste qu'il a toujours renié...


Jugements sur le film

"On ne peut plus dire maintenant que le coeur est le médiateur entre la main et le cerveau, car il s'agit d'un pur problème économique. C'est pourquoi je n'aime pas METROPOLIS. C'est faux, la conclusion est fausse." Fritz Lang, interviewé en 1961.

"C'est le film le plus sot qu'on ait jamais tourné." H.G. Wells.

"Chaque plan du style de Lang, chaque mouvement d'appareil, chaque cadrage, chaque déplacement d'acteur, chaque geste a quelque chose de décisif." François Truffaut

Fritz LANG... Inspiré, selon ses propres dires, par la littérature populaire de son enfance, Fritz Lang, réalisateur mondialement célèbre et monument de l'histoire du cinéma, a été un des pionniers de la science-fiction. Il a abordé des thèmes chers au fantastique, comme le "savant fou" : Rotwang, dans Metropolis, et Mabuse dans la série de films portant son nom... Sans omettre le personnage de "l'androïde" : Maria dans Metropolis.

Fritz Lang fut également un pionnier dans la mise au point d'effets spéciaux.


La version "rock" de 1984

En 1984, le compositeur Giorgio Moroder racheta les droits du film et réalisa une version " rock new wave " avec notamment des chansons de Pat Benatar, Bonnie Tyler et Freddie Mercury. Cette nouvelle version, entièrement colorisée et sonorisée, remontée et même augmentée de plans inédits, prouve, selon certains critiques, l'étonnante modernité du film et de son propos, alors que d'autres ont jugé proprement consternant ce "remake" commercial produit par un "disco-fabriquant" (sic).... En tout cas, le film remporta un grand succès auprès du jeune public...

Titres et interprètes de la version de Giorgio Moroder

"Love Kills". Ecrit par Freddie Mercury and Giorgio Moroder. Interprété par Freddie Mercury.

"Here's My Heart". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Pat Benatar.

"Cage of Freedom". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Jon Anderson.

"Blood from a Stone". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Cycle V.

"The Legend of Babel". Ecrit par Giorgio Moroder. Interprété par Giorgio Moroder. "Here She Comes". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Bonnie Tyler.

"Destruction". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Loverboy.

"On Your Own". Ecrit par Giorgio Moroder and Billy Squire. Interprété par Billy Squire.

"What's Going On". Ecrit par Giorgio Moroder and Pete Bellotte. Interprété par Adam Ant.

"Machines". Ecrit par Giorgio Moroder. Interprété par Giorgio Moroder.

Le film en DVD ou Vidéo

Ce chef d'oeuvre du film d'anticipation est sorti sur DVD ( 1 disque, 2 faces, 1 couche, durée:1h55 ). Il est proposé en version restaurée : l'image, superbe de contrastes, malgré quelques rayures dues au temps, est accompagnée d'une musique en stéréo Dolby Surround. Intertitres en français, allemands, fiches techniques, filmographies, et documentaire ( 1h40 ) de Fritz Lang, filmé aux Etats-Unis en 1940. La jaquette en relief, argentée, où est incrusté le visage du robot à l'effigie de Maria, complète avec beauté un ensemble superbe ( Films sans frontières ).

C'est donc la version la plus proche du film tel qu'il est sorti en salles, la version étant entièrement restaurée par Enno Patalas et la cinémathèque de Munich. Le menu d'accès, muet et animé, propose 4 fiches techniques détaillées très complètes sur le film, la filmographie de Brigitte Helm et des explications sur le contenu de la face B.

En effet, de l'autre côté de la galette, c'est plus de 100 minutes inédites sur les carnets de route de Fritz Lang sillonnant les Etats-Unis en 1940. Il est vrai que ce document est avant tout destiné à un cinéphile exigeant de parfaire ses connaissances sur un réalisateur hors du commun.

Références du DVD : DVD Zone 2 - Pal - DVD 10 - Face A : Format plein cadre divisé en 13 chapitres (4/3) - Face B : Les PREMIERE PAGE Movies de Fritz Lang - Musique en Dolby Stéréo Surround - Sous-titrage en Français - Durée de chaque face : 1h55 + 1h41.


AVRIL 2004 : ressortie en salles et en DVD du film-somme de Fritz Lang

METROPOLIS, le vrai, METROPOLIS, le temps retrouvé...

Selon l'historien du cinéma Enno Patalas, "METROPOLIS est un film hermaphrodite"... Il est vrai que la superproduction de Fritz Lang associe une mise en scène souvent virile et une sensibilité romantique plus féminine. Ce film de science-fiction, pour imaginer l'avenir, s'inspire du passé en puisant dans les mythes antiques et chrétiens, mélangeant ainsi les genres, les styles et les contraires. Si le générique de l'oeuvre annonce un film d'animation expressionniste abstrait, on découvre aussi un quasi documentaire sur une ville du futur. C'est, de loin, le film muet le plus célèbre du monde : il a influencé aussi bien le cinéaste Ridley Scott ( Blade Runner ) que ses collègues Rintaro, japonais ( pour le dessin animé Metropolis ) et Paul Grimault, français ( pour Le Roi et l'Oiseau )....

Ce film monumental, visuellement impressionnant mais lourdement allégorique, est ressorti en avril 2004 au cinéma et en DVD dans une version restaurée en numérique par la Cinémathèque de Munich. Le procédé utilisé est tout à fait inédit : le négatif du film a été plongé dans un fluide spécifique, scanné, puis traité digitalement par ordinateur. Un grand nombre de défauts figurant sur les copies ont ainsi pu être corrigés : rayures gommées, collures de la pellicule retouchées, poussière enlevée, stabilisation du défilement et des variations d'intensité lumineuse. Le négatif obtenu est alors parfaitement semblable à l'original de la première génération - dont on peut donc tirer des copies identiques à celles provenant d'un tirage de 1927. Par ailleurs un grand nombre de plans "disparus" ont pu être réintégrés...

Pour sa première à Berlin, en 1927, le film durait 2h.33 ... Il fut retiré de l'affiche au bout de quinze jours et ressortit au mois d'août dans un nouveau métrage, raccourci d'un quart ... Il fut ensuite diffusé en Europe, cependant que la Paramount le distribuait aux Etats-Unis, également amputé de 25% , avec des modifications importantes ( suppression de nombreuses séquences au night-club, des scènes de rapports conflictuels entre le Maître de Metropolis et le savant fou, la scène expliquant la création de l'androïde ...etc...) Depuis, les archéologues de la pellicule rêvent de retrouver la mythique version intégrale, invisible depuis 1927.

La version actuelle dure 2h.05 au cinéma ( la plus longue existante ) et 1H.59 en DVD, compte tenu du défilement plus rapide des images ( 25 images/seconde contre 24 au cinéma ). Selon son restaurateur, Enno Patalas, cette nouvelle version n'est pas une reconstruction de Metropolis identique à l'original, "mais seulement une version synthétique, élaborée à l'aide des fragments ayant résisté à l'épreuve du temps..."

Synthèse d'informations fournies par une analyse de Samuel DOUHAIRE, parue dans le quotidien français LIBERATION daté du Vendredi 16 avril 2004, et par un article de J. M., publié dans l'hebdomadaire alsacien REFLETS DNA ( semaine du Samedi 17 avril au Vendredi 23 avril 2004 )...

LIENS et BIBLIOGRAPHIE

Lien instructif sur le film de Fritz Lang : http://www.captage.com/kaplan/Ville/Metropolis_f.html

Excellent site documentaire : Cités de demain : la ville futuriste dans les films de science-fiction.

Dans une prochaine page, nous évoquerons la toute récente - et séduisante - version de METROPOLIS : un film d'animation japonais... En attendant une analyse détaillée, on peut consulter quelques sites sur le web... par exemple celui-ci ou celui-là ... mais aussi cette approche bienveillante. sans négliger le point de vue du Monde...

Bibliographie ( B.R.P. - Bibliothèque du Réseau Pléiade )

Jasia REICHARDT, LES ROBOTS ARRIVENT, éd. du Chêne, Londres 1978

Frédérique BOYER et Raoul DUBOIS, NOUS INVENTONS LE BONHEUR, éd. Magnard, Paris 1979

Jacques van Herp, Panorama de la Science-Fiction ( thèmes, genres, écoles, problèmes ) , Marabout Université n° 270, Verviers 1975

Etienne FUZELLIER, Dictionnaire des oeuvres et des thèmes du cinéma mondial, coll. "faire le point", class. Hachette, Paris 1976

H.G. WELLS, La Machine à explorer le temps, roman S.F. paru en Livre de Poche : le voyageur dans le temps y découvre aussi une ville "à deux facettes"... Nous lui consacrerons bientôt une page spéciale... Lien vers une analyse (clic) inspirée par l'adaptation cinématographique du roman, sortie sur les écrans en 2001...

Extrait du roman ( lu et étudié en 4è au Collège épiscopal Saint-Etienne de STRASBOURG ) : les Morlocks et les Eloïs (clic) - parabole de la "lutte des classes"...


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