Le film intitulé L'Homme qui
rétrécit, inspiré par un
roman de l'écrivain américain Richard Matheson,
invite le spectateur à réfléchir sur sa
condition d'homme. A travers cette oeuvre, on
découvre un personnage et ses sentiments face
à l'inconnu...
L'intérêt principal du film est
donc son aspect philosophique. L'étrange histoire du
héros, sa progressive et lente descente aux enfers,
sa lutte pour survivre dans un monde qui n'est plus le
sien... tous les ingrédients sont là pour
faire de ce film un petit chef-d'oeuvre.
On y découvre un homme qui, peu
à peu, perd tout repère, à commencer
par son identité sociale. Il vit à
présent dans un monde de géants, très
différent de celui qu'il avait connu
jusqu'alors...
Il découvre l'univers sous un autre
angle dans le cadre d'une entité infiniment
petite.
Le combat qu'il a dû mener pour survivre
a démontré son courage et toute la force de sa
volonté. Cet homme est passé de tout à
rien. Malgré sa peur de l' "Après", de
l'Inconnu, malgré cet horrible malheur qui s'est
abattu sur lui, il n'a jamais baissé les bras. Il a
accepté sa fin ou plutôt son commencement, avec
toute la détermination d'un homme qui se
découvre au fil des jours une différence qui
n'a fait que s'accentuer.
A travers ce film, chaque spectateur a pu se
rendre compte de l'importance que revêt l'apparence
physique dans la société d'aujourd'hui.
On a égalmement pu constater que la
vision des hommes n'est pas la même que celle de la
nature.
Le néant n'existe pas, le
zéro n'est pas "rien".
Derrière ce monde
délimité en centimètres se cache un
autre univers, situé, lui, dans l'infiniment
petit...
Laetitia, Marion, Jade, Virginie
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C'est un film original qui associe
fantastique et réel tout en restant
fidèle au récit écrit par le
romancier américain Richard Matheson. Le
personnage principal, Scott Carey, subit une
réaction radioactive qui le fait
rétrécir tout au long de
l'histoire.
Cette aventure hors du commun nous
plonge dans le monde de l'infiniment petit, le
monde de Scott Carey. Ce film intrigant reste
réaliste dans la proportionnalité des
tailles, ce qui nous semble remarquable pour une
création des années 50... Hormis ce
réalisme soigné, les dialogues sont
décevants, souvent très banals et peu
recherchés.
Le message que ce film veut nous
transmettre n'apparaît clairement qu'à
la fin de l'histoire. Il met en rapport
l'infiniment grand et l'infiniment petit et compare
l'être humain dans l'univers, qu'il soit
doté d'une forte carrure ou d'une taille
microscopique, à une infime poussière
qui ne peut changer le destin...
Le message est divinement
amené et conclut bien, de manière
philosophique, ce film peut-être plus
réel que fantastique...
Sara / Lise
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Le film L'homme qui
rétrécit, inspiré du
roman de Matheson, raconte l'histoire de Scott
Carey, atteint d'une maladie unique et incurable :
il rétrécit continuellement...
Ce chef-d'oeuvre
cinématographique est l'un des
précurseurs de la "science-fiction".
Malgré une adaptation peu fidèle du
roman original, il reproduit le principal message
de l'oeuvre. On apprend d'abord que
l'humanité rejette les différences et
en fait des "phénomènes de foire"...
Ainsi, Scott Carey voit ses relations se
dégrader au fil de son
rétrécissement, pour finir par
n'aimer que lui-même. Lors de sa
mésaventure, il se voit confronté
à un monde qui n'est pas le sien et qu'il
s'efforce de maîtriser comme le firent, en
leur temps, les premiers hommes.
Pour finir, l'auteur nous fait
comprendre que la différence de taille entre
les hommes "normaux" et Scott Carey est
négligeable, à l'échelle de
l'univers intergalactique...
Comme un roman, un film peut
transmettre plusieurs messages...
Stéphane, Jean,
Clément et Martin
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Nous n'avons pas
apprécié ce film car le
scénario nous laisse deviner la suite des
événements... La
médiocrité des effets spéciaux
renforce cette sensation...
Le registre fantastique tourne
parfois au pathétique, par exemple
lorsque le héros est poursuivi par le
chat...
Cependant le film aborde des
thèmes intéressants, tels que la
solitude d'un homme différent des autres. En
effet, de par sa taille, il se sent exclu sous le
regard d'autrui. Le héros fait preuve
d'intelligence et d'ingéniosité pour
parvenir à se tirer de situations
embarrassantes, dans l'espoir de survivre...
A la fin, le personnage accepte son
sort et souhaite recommencer une nouvelle vie. Il
part à la conquête d'un nouveau monde,
celui de l'infiniment petit...
Alexandre et Julia.
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L'aspect fantastique du film est son
point fort. En effet, suivre les aventures d'un
homme qui rétrécit est des plus
captivants... Les effets spéciaux de ce film
donnent du réalisme aux scènes les
plus inattendues, ce qui tend à nous plonger
dans un état fébrile proche de
l'excitation...
La fin n'a cependant pas
répondu à nos attentes. De fait, nous
avions espéré une fin plus terre
à terre, où l'homme retrouverait sa
taille initiale.
La conclusion du film est plus
philosophique et nous pousse à la
réflexion, nous laissant, pour notre plus
grande déception, sur notre faim...
Marine, Jocelyne, Karine
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Nous jugeons ce film très
intéressant, bien réalisé...
Il nous offre un bon sujet de réflexion sur
les relations humaines, les discriminations
physiques et la place de l'homme dans l'univers. De
plus, le film est plutôt fidèle au
roman de Richard Matheson, bien que quelques
détails aient été omis, comme
l'existence de sa fille Majorie...
Le livre et le film présentent
une double interprétation : on peut soit le
regarder simplement et profiter de cette histoire
fantastique, soit le regarder sous l'angle de son
interprétation plhilosophique : de
l'infiniment grand à l'infiniment petit,
l'existence du néant à
l'échelle de la nature...
Pour conclure, ce film
américain de 1957 reste pourtant actuel car
il traite de sujets intemporels. Nous le
conseillons aux petits comme aux grands !
Claire, Hélène,
Laurent et Marion
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L'homme qui rétrécit
met en avant la question de la place de
l'homme dans l'univers et de l'importance du don de
la vie, qu'il faut à tout prix conserver,
malgré les différences avec le monde
"extérieur" et le mal-être qui peut
nous envahir. Au delà de l'aspect
fantastique, les décors réalistes et
les scènes de la vie quotidienne nous
permettent d'entrer dans la peau du personnage.
Celui-ci, exclu par une société
"superficielle", arrive néanmoins à
conserver son identité, ses idées
d'être humain. Son "exil" n'altère pas
ce qu'il est réellement...
L'ingéniosité que
déploie Scott Carey pour subvenir à
ses besoins primaires force l'admiration. Il
surmontera sa peur, se prouvant ainsi que la loi du
plus fort ne s'applique pas toujours si l'on y met
toute son âme. L'amour du héros pour
sa femme sera le principal support de sa
survie.
Le suspense, tout au long du film,
est insoutenable. Le rétrécissement
du personnage nous ouvre une vision plus vaste du
monde.
Malgré l'absence de couleurs
et d'images de synthèse, auxquelles nous
sommes aujourd'hui habitués, ce film
mêle à la perfection le fantastique et
le philosophique en nous captivant au plus haut
point...
"A l'échelle de la nature,
le néant n'existe pas...".
Un mythe à la frontière
du réel...
Antoine, Alexis et Adrien
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L'homme qui
rétrécit est un film
inspiré du roman de l'écrivain
américain Richard Matheson. Ce long
métrage est considéré comme un
classique de la "Science-Fiction" au XXè
siècle. On regrettera cependant l'absence de
couleurs.
Le jeu des acteurs est exceptionnel.
On devine les sentiments des personnages à
travers l'expression de leurs visages.
On remarquera par ailleurs une
certaine monotonie musicale, ponctuée de
soubresauts discrets, ce qui appauvrit l'ambiance
sonore.
Les effets spéciaux sont
plutôt bien réalisés pour un
film de 1957. On admettra que, sous cet angle, ce
film est en avance sur son temps.
Pour conclure, on peut dire que ce
long métrage est un classique
indémodable. De par sa
fidélité au roman et la
qualité de ses effets spéciaux, ce
film continuera encore à charmer le grand
public pour de nombreuses années...
Florian, Matthieu...
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Ce film raconte l'hitoire d'un homme
qui rétrécit petit à petit, au
fil des jours. Il disparaîtra de la vie de
ses proches et commencera une aventure de "lutte
pour la survie" dans la cave de sa maison.
Cette adaptation du roman de
l'écrivain américain Matheson est
pleine de suspense et de rebondissements qui
captivent le spectateur durant tout le film.
Cette oeuvre cinématographique
est la preuve que la qualité d'un film peut
ne pas dépendre forcément des moyens
techniques déployés pour sa
réalisation mais plutôt, comme ici, du
jeu des acteurs et de la parfaite cohérence
du scénario.
On s'attache très vite au
personnage principal qui, tout au long du film,
fait preuve de courage et arrive, dans toutes les
situations, à vaincre sa peur et à
mener ses actions à leur terme...
Au delà de la
réalisation et du film en lui-même, le
spectateur réfléchit à la
présence humaine dans l'univers. Il nous
fait aussi penser aux différences de chacun
et à leur degré d'acceptation dans la
société...
Gaston et Olivier
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