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sur lui, qu'un souffle passe, il n'est
plus..."
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Comme est la tendresse
d'un père pour ses fils,
tendre est Yaveh pour
qui le craint ;
il sait de quoi nous
sommes pétris,
il se souvient que
poussière nous sommes.
L'homme ! ses jours sont
comme l'herbe,
comme la fleur des
champs il fleurit ;
sur lui, qu'un souffle
passe, il n'est plus,
jamais plus ne le
connaîtra sa place.
Mais l'amour de Yaveh
pour qui le craint
est de toujours à
toujours,
et sa justice pour les
fils de leurs fils, pour ceux qui gardent son
alliance,
qui se souviennent
d'accomplir ses volontés.
Psaume 103, V. 13 -
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